Depuis des mois la vie est une montagne russe, et nous n’avons qu’une hâte : annihiler la morosité ambiante, entre virus, pandémie, confinement, pass sanitaire, difficultés économiques, et surtout trolls qui s’en repaissent et n’ont qu’une ambition, la faire perdurer (« Qu’ils crèvent ! »)
C’est si bon de souffrir, de se priver, de déprimer. « Oh oui ! Fais moi mal ! »
« My life is a big…. dark….. room. » (les fans reconnaîtront la référence)
Dans ce marasme insupportable mais surmonté parce que nous avons avons appris à faire le dos rond, et surtout découvert la souplesse insoupçonnée de nos corps si rigides et de plus en plus blindés, un artiste qui a vécu en outre pendant cette période le traumatisme ultime de la perte de son père sort son premier album.
Un album hors des modes qui ne révolutionnera pas la musique [une formule que je n’aime pas car les révolutions n’existent plus depuis longtemps], mais traversé d’un sourire infaillible. C’est tellement bon ! Nous le chroniquerons bientôt.
En attendant, écoutez-le, libérez vos sens, ouvrez vos oreilles, laissez de côté vos relents nauséabonds,… réapprenez à vous satisfaire de la simplicité, sans arrière-pensées. Câlinez vos nerfs à vif ! Vivez !
On se retrouve très bientôt !